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mardi 26 mars 2019

L'Inad qui n'existe pas


   Mensuel d'informations générales de la consommation des crédulités
Depuis le 4 janvier 2000 une présumée association revendique la qualité et le statut d’institut, au sens institutionnel du mot. En ces temps de fake news il s’agit d’une usurpation de plus. Une combine imaginée par 9 retraités pour améliorer leurs revenus avec les cotisations payées par des jobards. Pas plus d’institut que d’institution…

Un titre
Le Journal Officiel publiait en janvier 2000 la création d’un titre dénommé institut national des arts… La publication d’un titre –dénomination de la structure- ne signifie pas que l’organisation existe. En effet, d’autres démarches légales sont nécessaires à accomplir afin que l’organisme corresponde au titre. La plupart du temps, des changements de structure sont imposés par la loi, si bien que le titre perd sa signification à raison des transformations imposées. Ainsi pour revendiquer l’usage, et l’emploi, en qualité de raison sociale  du mot institut il est nécessaire au titre de satisfaire à plusieurs formalités supplémentaires. Faute de quoi l’usage du mot institut devient illégal. Par exemple intégrer le réseau public, ou à défaut figurer au nombre des instituts privés. Là encore, des règles sont à observer, sans lesquelles le statut relatif au mot institut devient une usurpation. Par lettre datée 4 novembre 2018 le ministre de l’éducation, répondant à une interrogation, déclarait « je vous informe que l’institut inad n’est pas un institut au sens légal du mot, ni public, ni privé ». L’usage du mot institut est prohibé pour ce titre. Cet état renvoie à plusieurs articles publiés dans l’ebook « les hoax de l’astrologie » relatifs aux mots interdits tels que psychologue et astropsychologue par exemple.

Une combine juteuse pour 9 retraités
Le titre se dénommant « institut national des arts…. » prétend détenir le pouvoir déontologique des activités divinatoires. En revendiquant le parrainage de la DGCCRF du ministère de l’économie. Lors des vérifications sur pièces la réponse obtenue dément l’affirmation. Tout d’abord parce que la prétendue déontologie contrevient à l’ordre public du droit de la consommation que la DGCCRF a la charge de faire appliquer au titre des articles L.511 et suivant du code. Ensuite parce que la DGCCRF dispose de par la loi d’une faculté d’appréciation propre, et que dans sa base de données ne figure nulle part un texte reconnaissant quelque valeur que ce soit à la prétendue déontologie du titre « institut national…. ». D’ailleurs, Si cet institut était réellement national institutionnel, au sens légal du mot, le décret de sa nomination suffit à lui seul pour valider ses actes. Or ce n’est pas le cas.

Il s’avère que 9 compères, atteignant la retraite, imaginèrent la combine d’un institut de la divination, non déclaré légalement, afin de se rémunérer sur les cotisations prélevées sur les prestataires abusés, croyant adhérer à une structure, inexistante de  fait. Afin de se partager le produit des sommes encaissées à titre de rémunération non déclarée, Objectif visé plus de 100 000 euros annuels, chacun, net d’impôt. Equivalent à plus de 8 300 €/mensuels. Confortable. C’est mieux que la double rémunération cumulée de M Hervé Gaymard. Ainsi des prestataires paient chacun une cotisation de 250€/an croyant adhérer à une organisation, laquelle est dépourvue d’existence légale. Astucieux.

Le budget judiciaire

Afin d’accréditer « sa surface » le titre investit une partie de son budget dans les actions judiciaires afin d’accréditer de son existence. Idée de l’un de ses 9 membres, ancien avocat ayant des prétentions de Grand Humanitaire style médecins sans frontière de la divination. Pour quels motifs ? La lecture des jurisprudences montre que les adversaires ignorent à quelle structure ils ont affaire. La lenteur avec laquelle la Préfecture de Paris délivre les statuts participe du maintien dans l’ignorance. Il est nécessaire d’investiguer sur une plus longue période pour s’informer. Dans le dédale de ce marécage, une décision attire l’attention. Il s’agit de l’arrêt civil de la Cour d’Appel d’Aix en Provence, daté 25/10/2012 Gérard Labarrère. Cette décision est la première à juger, définitivement, que l’institut national des arts… n’existe pas. Une seconde décision de la Cour d’Appel de Versailles, datée 08/10/2013 Valérie Frigola va dans le même sens, relevant que l’institut présumé n’investit pas pour se faire connaître, sans renommée. Les magistrats versaillais exprimèrent des doutes officiels motivés sur la consistance réelle, ainsi que légale, de cette structure.
L’intérêt de la procédure judiciaire permet de revendiquer des décisions, se rapportant à un titre, ainsi qu’à un siège social éventuel. Deux éléments identitaires de base de nature à justifier d’une activité, présumée contentieuse. En 2012, Monsieur Gérard Labarrère était le premier à vérifier sur pièce les assertions de l’institut non institutionnel. Le peu d’informations récoltées, avec l’aide de son avocate Me Marie Christine Ravaz, l’avocate du dossier SPIP des prothèses mammaires féminines, se soldait par un succès. L’affaire eut un net retentissement puisque la structure abordait l’affaire Labarrère dans le PV de son Assemblée Générale daté 27/12/2012. PV délivré par la Préfecture de Police de Paris.
La série des décisions judiciaires ne suffit pas à justifier d’une identité, depuis que la loi définit la notion d’identité d’ordre public. Peu de personnes sont en mesure de faire la différence entre l’identité au sens judiciaire du mot, se rapportant à la désignation d’une partie en application du code de procédure, et l’identité d’ordre public. Les irrégularités procédurales sont ensuite couvertes. Ainsi qu’on peut l’observer dans la jurisprudence Danae par exemple. L’avocate de Danae accumulait plusieurs bourdes en enfilade, notamment à propos du siège social du faux institut.

Les Jobards
Deux catégories se distinguent : les consommateurs et les prestataires.

Les consommateurs sont persuadés de s’adresser à une institution réelle au motif d’une adresse, et d’un téléphone. Ils ont le « contact ». Aucun d’entre eux n’a l’idée de réclamer la production des pièces d’identité pour vérification. Le consommateur est persuadé de l’existence d’une institution ayant pour mission de le conseiller. Sans faire de rapprochement avec l’existence du médiateur de la consommation dont l’action est gratuite. Sans s’interroger sur l’absence de cette institution de la liste officielle des médiateurs de la consommation divinatoire. Le consommateur paie, le faux institut encaisse, la DGCCRF informée laisse faire. Le consommateur n’est pas protégé contre les actions des aigrefins.

Les prestataires paient une cotisation annuelle...pour rien. Inutile. Ils affichent ensuite à leurs adresses internet la mention « membre de… » avec parfois la copie d’une carte dite "professionnelle". Mentions constitutives d’une pratique commerciale trompeuse au sens du 2° de l’article L.121-2 consommation. Laissant aux agents de la DGCRF le choix de la poursuite, soit sur l’inexistence de l’institut, soit sur le motif de la prestation de service, soit encore sur les droits du prestataire es qualité de membre d’un faux institut. Sanction 2 ans de prison et 300 000 euros d’amende. Voila ce qu’il en coûte de revendiquer l’appartenance à une institution non déclarée. En effet, un institut non légalement déclaré ne peut avoir de membres encartés, ni ne peut non plus délivrer des cartes d'adhésion...à quoi? Il n'existe pas d'institut national des arts divinatoires, le ministre l'atteste officiellement. Il n'existe pas pas d'association non plus. Nonobstant une parution au J.O daté 4 janvier 2000. Car pour que cette association existe, il est nécessaire qu'elle procéde à la déclaration d'existence d'un institut.Le titre dénommé institut national, doit prouver qu'il est un institut légal, puis qu'il dispose de l'habilitation "nationale", c'est à dire 10 000 cotisants à un institut déclaré ayant obtenu l'agrément association de consommateur . 10 000 cotisants cela se trouve, mais déclarer un institut de consommation de prestations occultes, pose un tout autre problème.

Le titre publié au Journal Officiel ne vaut pas déclaration légale, en l’absence des formalités substantielles supplémentaires à satisfaire. La confusion est habile avec un autre type de service. Nombre de prestataires (plus de 2 500), et de consommateurs se laissent prendre chaque année à cette illusion. Pour le plus grand profit de 9 personnes retraitées percevant des émoluments depuis janvier 2000. Cela dure depuis 18 ans. Rien ne dit que cela continuera, encore, aussi longtemps. Maintenant que le pot aux roses est découvert. En effet, la composition du prétendu conseil d’administration de ce "bidule" pose un sérieux problème. « Les membres peuvent être défrayés et recevoir des missions rémunérées » selon l’article X des statuts du titre. Les membres? Lequels? Ceux du titre, ou de l'institut? Ils doivent être les mêmes. Or ce n'est pas possible.  Les prestataires financent par leurs cotisations, illégales, neuf membres dont certains sont inamovibles, tel le président en place depuis 18 ans, alors que pour les instituts privés, la durée non renouvelable d’un mandat est de 5 ans. Résumons, un institut non institutionnel rémunère des membres non légalement désignés depuis 18 ans, ainsi que non déclarés. Dans le petit monde de la divination les tromperies sont régulières. Cette fois les abusés se comptent du coté des prestataires. Jusqu'à ce que l'un d'entre eux se fasse pincer. Il suffit d'attendre...

Sybille de Panzoust














mercredi 14 novembre 2018

ASTROLOGIE VOYANCE DIVINATION LES CHIFFRES REELS DU MARCHÉ




Voici, après enquête, les chiffres du marché de l'astrologie-voyance

Le marché de l'astrologie est sinistré depuis 2009.
Le marché de la voyance est un marché mature en récession depuis 2012.


Le nombre total des prestataires se trouve dans la fourchette de moins de 800 intervenants sous quatre statuts différents.

Nombre total des consultations journalières évalué, inférieures à 5000

La demande annuelle se chiffre entre 14 600 000 et 18 250 000, soit une fourchette entre 15 et 18 millions de consultations/an.

La clientèle de base se compose d’une population de crédules de 4 millions de personnes non extensible.

Le chiffre d’affaire global du secteur n’atteint pas 320 millions d’euros/an

Le leader est Cosmospace avec 10% de part de marché depuis 2010, en baisse

les bases de cette enquête sont publiées dans le livre "astrologie mythe et réalité 2018"


Voici les records de la voyance en France avec les références

Record du Retour d'affection
Le record de la somme la plus importante dépensée pour faire revenir un partenaire de vie est, depuis 2009, détenu par Monsieur Gérard Labarrère en Provence, pour avoir dépensé la somme de 282 610 € pour faire revenir sa compagne...sans résultat.
Source Arrêt cassation chambre criminelle 18/03/2014.



Record d'exploitation du malheur d'une victime de la Voyance







Détenu par l'INAD agissant pour récupérer, illégalement, la somme de 18 720€ devant le juge des référés de Toulon, puis ensuite devant la Cour d'Appel d'Aix en Provence...sans résultat non plus
 Source CA Aix en Provence 25/10/2012
détails publiés dans Histoires de commerce et d'association

Record du nettoyage énergétique des lieux







Détenu par les sociétés AVM (audio video multimedia) dans le Var, et en Tunisie, de Mme Véronique KROKOWICZ via l'adresse voyancelle.com pour avoir fait vendre par un couple du Finistère un immeuble au prix 300 000 € au motif que cet immobilier donnait le cancer de l'estomac à ses occupants afin d'empocher ensuite l'argent avec des pratiques commerciales trompeuses.
 
Source Ordonnance de refus d'informer 04/05/2017
 détails publiés avec pièce dans Psychics Illustrated N°1

Record du bluff astrologique







Observé toutes catégories confondues par Fabrice Pascaud, adhérent de l'INAD, avec carte d'escroquerie(1) professionnelle attribuée par l'Inad, pour détection de fausses positions planétaires, du faux don astrologique de voyance du faux voyant non sérieux David Mocq en 2017.
Source décision en attente
détails publiés dans Psychics illustrated n°2


l'Astrologie Voyance en récession depuis plus de 2 ans
recul sévère général y compris dans les niches spécialisées
 
La radiographie de plus d’une centaine d‘entreprises représentatives ayant pour activité l’astrologie voyance, en août et en septembre 2018, indique que le secteur de la divination connaît une sévère récession depuis plus de 2 années.


Les premiers signes
Plusieurs faits, non reliés entre eux, annonçaient la récession actuelle.
Août 1995, la revue Astres était cédée à son imprimeur la Sté Riccobono à la barre du tribunal de commerce de Paris. Depuis 1992, Dan Martin attirait l’attention des lecteurs d’Astres en leur demandant de signaler les points de vente dans lesquels la revue n’était plus distribuée. Juillet 2009 Astres était liquidée. Un administrateur judiciaire vendait les actifs. Simple naufrage de Presse pour une publication créée en 1948? En 2011 Jean Luc Esquerre, sociologue au CNRS, apportait une première réponse. Celle de la désaffection progressive du public, étalée sur plusieurs années, pour les ouvrages d’astrologie voyance en comptant les titres publiés à la BNF. La moyenne passait de 2,9 titres/an à 0,6 depuis le début des années 2000.Toutefois Equerre ne pouvait dater le début de ce désintérêt.

Puis coup sur coup deux échecs se cumulaient successivement. Martine Garetier, ex pigiste d’Astres lançait Astroh Magazine en février 2011, pour en stopper les ventes en octobre de la même année. Astrocenter Magazine lancé en novembre 2012, avec plus de moyens qu’Astroh, disparaissait aussi des points de vente en l’espace de 2 mois. La plus courte espérance de vie pour un titre de publication. Pas de public acheteur. Dans un autre registre, les éditions Lafon peinaient considérablement à maintenir en vente la reprise d’anciens titres de publication d’astrologie disparus en exploitant la rémanence. Y compris avec des cadeaux distribués sous blister. Le contenu posait problème.

Enfin, les prévisions astrologiques, tirées par les cheveux, du garçon coiffeur claude alexis se vendaient mal en rayon. Son éditeur pilonnait les invendus. La dernière édition, avec réduction du volume des tirages datent de 2016. Mauvais divinateur, la tête à perruques claude alexis annonçait le retour tonitruant de Sarkozy, alors qu’il fallait prévoir sa retraite. Pas doué, c’est le moins qu’on puisse dire. Il aurait du rester dans la gomina, le peigne et le shampooing. En créant une chaîne de franchise de coiffure. La perruque c’est son truc.

D’autres signes du déclin en cours étaient encore non décelables. Novembre 1987 déclaration de l’association Inad, pas finie dans sa forme. Avec un objet social surprenant, la promotion des arts divinatoires. Puis 9 années après, en 1996, déclaration de La FDAF pas plus claire non plus. Ces deux « structures », l’une comme l’autre, investissaient leurs actions dans les dérives. Il faut observer, lorsqu’une activité se trouve dotée d’objectifs de type promotionnels, cela signifie qu’un problème non résolu existe, que cette, ou ces organisations sont incapables de résoudre. Des problèmes nouveaux s’ajoutent ainsi aux anciennes difficultés, laissées sans solution, par un simple détournement d’attention.

L’année 1985 était aussi celle de la popularisation du minitel rose avec la multiplication des services d’astrologie voyance sur la majorité des accès télématiques du 3615. L’offre devenait surabondante, avec une importante baisse corrélative de la qualité. Tout le monde voulait gagner de l’argent à bon compte avec les télécoms. Dans ce lot de la médiocrité Miss Larzul faisait la connaissance de Patrick Giani. L’astrologie entrait en déclin. La voyance la suivait de près. Cette décadence est-elle une conséquence du progrès technologique? Pas du tout!


 Boris le boulanger et le cannibale









Année 2000, fin du minitel de France Télécom et avènement de l'internet. Les pionniers du genre devaient affronter le langage html, apprendre à composer une page, enfin le b.a.ba d'un nouveau mode de communication. Et se faire connaitre, au prix fort, en attendant le réseautage, Facebook, Instagram et autre You Tube. Juin 2004, date repère, celle de la promulgation de la LCEN, la loi sur l'économie numérique, malmenée par les avocats qui la malaxent comme du chewing gum dans tous les sens. Entre 2000 et 2005 les premières adresses internet de la divination ne faisaient pas encore recette. Le garçon coiffeur Alexis délaissait ses ciseaux pour les bigoudis de l'avenir, en croyant y faire fortune en étalant partout son blair de beau gosse photoshoppé en retouches bockets. Manifestation du syndrome de Narcisse de l'amour de lui-même. Beaucoup se lancèrent dans cette nouvelle forme d'activité avec les contraintes techniques du codage. Puis la concurrence entre éditeurs de logiciels réduisait au fil des années les problèmes techniques. Permettant d'offrir des adresses d'usage facile clés en mains à partir de 2008. Il ne restait plus qu'à composer les textes, sans se préoccuper de codage, ajouter deux ou trois images, de mauvais goût le plus souvent, payer éventuellement la location d'une url à l'année, et attendre benoitement les rentrées d'argent les pieds dans l'eau du lagon de Mururoa.

C'est alors, en pleine euphorie, que survenait sans prévenir la seconde vague, dite "des cannibales" désireux, eux aussi, de prendre leurs parts du gâteau. Le constat se trouve dans les propos que le sidi 6awi prêtait à Boris de la Volière, dans le billet publié pour son compte fin août, 2018, afin de relancer son activité périclitée. Boris, l'énergéticien de province, incapable de s'énergétiser lui-même, le chausseur est le plus mal chaussé, s'en prenait au boulanger de Dijon en ces termes : "Le boulanger devient voyant alors qu’il ne possède aucune compétence en la matière." Pas plus que Boris en tout cas. N'importe qui s'installe du jour au lendemain. Voila le drame de Boris, et de beaucoup d'autres. En installant son business d'exploitation de la bêtise, Boris créait lui-même, sans le savoir, les conditions de sa propre concurrence sur le marché non extensible de la crédulité. Il n'imaginait pas l'arrivée de la vague des crédules désireux d'exploiter les divinateurs. Prenez dans les nouveaux venus des années 2012-2013, Lune Soleil par exemple. Gentille fille crédule, sans être une lumière. Dont les activités grignotent la clientèle potentielle de Boris









La divination se cannibalise elle-même. Pas besoin d'accuser le boulanger de Dijon. Mieux installé que Boris. Dont les croissants et les brioches font les délices des Dijonnais. Alors que Boris déçoit les piles humaines qui s'adressent à lui pour recharger leurs batteries vides. Et puis il y a le facteur accélération sous la forme d'une loi. Il fallait 10 ans au support du minitel pour couler la revue Astres. De 1985 année du 3615, à 1995 année du premier redressement judiciaire de la revue cédée à Riccobono au Tribunal de Commerce de Paris. Il fallait 5 ans, aux cannibales, pour couler le business de Boris, de Sabrina, du garçon coiffeur Alexis de ses fesses, de Françoise Colin, de Fabrice Pascaud, et bientôt du tenancier de tripot de jeux david le moqueur, le vilain de la voyance. Ce qui explique qu'en l'espace de 5 ans, la nouvelle vague des cannibales épuisait le potentiel des premiers divinateurs installés lors des années 2000 à 2005. Ce n'est pas la loi du doublement des octets, mais celle des liquidations d'activités de 10 ans on passe désormais à 5. Loi de la division du temps. Le légendaire Monsieur Gérard Labarrère découvrait en 2012 que l'Inad n'existait pas, en le faisant juger à Aix en Provence le 25 octobre. Fin 2016 la nouvelle était connue, et publiée partout, nonobstant les saloperies de l'Inad pour en empêcher la divulgation publique. Liquidation de 29 ans d'activités voyouses en 4 ans. Décision pour bientôt par une voie inattendue. Les premiers signes du pourrissement, et donc de la récession actuelle du marché de la divination apparaissaient fin 2015. A l'effet du nombre -plus de 9 millions d'adresses internet semblables- s'ajoute l'infranchissable barrière de l'imprédictibilité. Les astrologues voyants actuels sont moins "bons" en prévision que leurs devanciers des années 1940. Car ce sont essentiellement des commerçants. Soucieux de rentabilité facile et rapide. La loi du fric tout de suite pour faire fortune sans attendre. Ils s'installaient dans de confortables niches d'exploitation croyant assurer durablement leur train de vie sans effort. Karma, Sutra et compagnie, boule de neige et chaînes de Ponzi. Des petits maddofs en séries imitées. Les niches sont peu à peu mangées, les unes après les autres, comme on gobe les huitres. Le karma se commercialise à la vitesse de la lumière comme des petits pains au chocolat par n'importe qui. Laurence Larzul est menacée jusque dans sa réincarnation. Une fois vidées les niches ne rapportent plus rien à personne. Boris correspond à une dénomination sociale, comme Sabrina ainsi que bien d'autres encore, dont il faut désormais couvrir les frais d'exploitation. Problème : comment y parvenir lorsque l'argent se raréfie? L'argument du don, rapidement épuisé par la concurrence, Sabrina la chamane des hurons sera bientôt contrainte à devenir gogo girl pour plateforme. Boris essaya d'endiguer la fuite des euros, en inaugurant une gamme de produits d'entretien domestique de la divination, sans la recette de M Propre pour l'hygiène prédictive. La prophétie du nettoyage prend mal. Y compris lorsque Boris déclare être complément irradié aux rayons cosmiques, au point de petit déjeuner chaque matin à la kryptonite rouge. Ses radiations cosmétiques ajoutent un supplément comique, à sa situation déficitaire, sans lui procurer l'appoint de clientèle attendu, dont Boris a urgemment besoin pour régler ses charges mensuelles. Car ses concurents cannibales fonctionnent sans frais d'exploitation à acquitter. Leurs adresses internet, par exemple, sont hébergées gratuitement chez wordpress. Pas de frais locatifs à payer. Pas de responsable légal, pas d'adresse postale non plus, voyez le cas de Liliane Magos avec Jimdo, ou de Valéry Darmandy avec wordpress. Et il en existe beaucoup d'autres qui facturent en douce des prestations non déclarées. Le fisc ne peut les remonter pour les taxer. L'argent rentre dans leurs poches sous la forme de bonus à 100%, net d'imposition, ni taxe à acquitter. Martine Garetier connaissait plusieurs échecs successifs avec sa revue Astroh! justement à cause des cannibales qu'elle pensait avoir comme clients potentiels. Et cela quelque soient ses accords passés avec les dames patronesses de l'astrologie voyance en province. Fait nouveau, observé au cours de l'été 2018, les cannibales s'entredévorent désormais. La clientèle des crédules se raréfie pour tout le monde. Les divinateurs se font, aussi, boulotter les uns après les autres par les actions incontrôlées des cannibales.  Combien de victimes Liliane Magos compte à son actif avec la publication de ses inepties?Faites le calcul! C'était prévisible sans être voyant. Faire de la bonne divination personne n'a encore réussi. Pas même la Pythie à Delphes à l'époque d'Apollon. N'est-ce pas Eric Berrut? Pas même Jésus Christ, non plus, lequel n'a jamais prédit l'avenir, notamment la date de la fin du monde dans l'assignation générale de l'humanité pour l'audience prévue du jugement dernier. Jésus manipulait la matière. Vous lui donniez 3 pains rassis, et 5 poissons pourris, il fabriquait avec ça assez de sandwichs pour 1000 personnes venues entendre son sermon sur la montagne. Jésus inventait Mac Do, avant l'heure, sans en déposer la marque. Manque de prévoyance? Notez que son menu n'était pas terrible. Pain et poisson, sans sauce Hollandaise, faut aimer. Quand il n'y a pas d'autre choix au menu on fait avec. La caractéristique essentielle de Jésus consistait à transmuter la matière. Vous lui donniez un litre d'eau, il vous rendait une bouteille de Romanée Conti à la place. Un considérable progrès gustatif. Jésus réussissait mieux avec le picrate. Ce qui explique la qualité du vin de messe. Les invités de la noce de Cana s'en souviennent encore. Jésus, le spécialiste des chais, la providence des cavistes pour le service du vin. Question avenir, zéro. Relisez les Evangiles. Alors la lecture de l'avenir par Boris de la Volière c'est encore moins bon qu'une tranche de Jésus, le saucisson du même nom. La voyance est en récession, les piranhas se mangent actuellement entre eux. Il ne restera bientôt plus que leurs cadavres. Pour l'équarrissage...

pour relancer ses activités dans le nettoyage énergético-cosmique des trous noirs et gris, sans parler des trous de balle sa spécialité dijonnaise sans moutarde

la dénomination sociale Sabrina de Sainte Pelle, elle aussi dans la mouise financière, envisage de s'appeler tsarina de Calendes pour avoir de la branche Romanov.
Changement de nom : technique marketing éprouvée de relance d'activité qui bat de l'aile, enseignée en école de commerce.
L'Ombre va marcher sur l'INAD et sur son professeur 6AWI pour leurs suppressions


Le divorce des voyantes
Il apparaît, après analyse de 50 décisions de divorce de voyantes, représentant le ¼ des effectifs exerçant actuellement en France, au cours des 18 dernières années (année 2000 comprise) les informations suivantes :

Durée moyenne des unions contractées : 10 années.
Le maximum atteint  18 à 25 ans
Le minimum est de 5 ans, cas du faux voyant non sérieux François Rambert, marié le 26 juin 1980, divorcé le 7 avril 1986

Demandeur en divorce : la voyante
A l’exception de quelques cas particuliers de divorce pour faute. La voyante est demandeuse en procédure de divorce, aux torts partagés.
Cette donnée constitue une indication sérieuse selon laquelle la consultation des voyantes, en matière affective, est contre indiquée. Puisqu’elles se montrent incapables, pour elles mêmes, de faire le bon choix d’un partenaire.

Motifs de demandes en divorce
1) Partenaire d’une voyante = vie affective malheureuse
Les décisions de divorce pour faute indiquent qu’au cours de 2 dernières années de vie commune, précédant le prononcé du divorce, le partenaire masculin de la voyante soit quitte le domicile conjugal, soit consulte des sites de rencontres pour trouver une nouvelle partenaire, alors qu’auparavant le mari n’avait aucun comportement volage.
Une seule voyante se plaignait en justice, de subir des relations sexuelles contraintes, car elle se refusait à son mari (frigidité ?).
2) Gestion ruineuse des ressources du ménage par la voyante
Souscription excessive de crédits, notamment à la consommation, constitue le second motif de divorce, relevé par les tribunaux en France
3) Pratiques sectaires et ésotérisme
Les partenaires des voyantes se plaignent en justice de l’addiction des voyantes aux pratiques sectaires, ainsi qu’à l’engagement dans les pratiques de sorcellerie. Faut-il voir dans cet argument une résurgence culturelle des accusations du XVIIe contre les sorcières ?

Age du divorce
La voyante est demandeuse en divorce vers l’âge de 40 ans en moyenne.

Divers
1) Un cas de demande en divorce, par le partenaire d’une voyante, fait état de son intempérance alcoolique. Les voyantes boivent.
2) Deux cas d’hommes violents sont signalés, suite au comportement de leur partenaire voyante.
3) La vénalité de la voyante financièrement intéressée constitue aussi le 4e motif de demande en divorce. Notamment lorsque le partenaire rencontre des difficultés financières.
4) Une décision, relative à la cliente d’une voyante, relève « les mauvais conseils donnés par les voyantes à leur clientèle ». Notamment en proférant des accusations de pratique de magie noire contre la famille, les proches et les relations de leurs clientes.
5) Une autre décision constate, que les voyantes manipulent les couples, afin de susciter des divorces, en prodiguant de mauvais conseils, afin d’inciter les partenaires à commettre des adultères en accumulant les aventures.
6) En matière de revenus, un arrêt de la 6e chambre civile de la Cour d’Appel d’Aix en Provence, apprend que le « médium rubis », ou « médium diamant », employé chez Cosmospace, percevait un salaire mensuel de 1 580€ en 2014. Cette salariée étant astreinte à fournir un chiffre d’affaire mensuel de 9000€ à son  employeur. Le gain de Cosmospace est donc de 7 420€/mois, par voyant, charges sociales comprises.
  
©15/08/2018 astroemail.com®








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lundi 12 novembre 2018

merci à nos lectrices et lecteurs de leurs soutiens



A nos lectrices et à nos lecteurs,pour leurs réactions spontanées de bon accueil de notre article "l'Inad virée de Wikipédia" daté 07/11/2018.






Cette page, en 4 jours, fait désormais partie de celles les plus lues depuis la création de notre blog.
Ces manifestations positives de satisfaction indiquent que les consommateurs de l'occulte adoptent une attitude saine et mesurée vis à vis des prétendus infirmiers de l'irrationnel.

La décision unanime, des contributeurs de wikipédia, de virer l'inad, trouve un écho positif dans l'opinion.
Notre proposition, faite à Wikipédia, le 07 juillet 2018, de virer la page Inad est validée.

MERCI à toutes et à tous.


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jeudi 8 novembre 2018

La page inad virée de Wikipédia comme une malpropre


















23 octobre 2018, cette date marque la première étape de la descente de l’Inad aux enfers de la voyance. En effet, une décision communautaire des contributeurs de l’encyclopédie en ligne décidait de supprimer la page inad créée en 2008. Laquelle page assurait la notoriété de cette organisation mafieuse, en drainant chaque mois des clients victimes des adhérents de l’inad, vers l’inad. Crédules persuadés de l’existence d’une organisation susceptible de les aider, laquelle inad les exploitait ensuite financièrement sans qu’ils s’en rendent compte. Notamment par des actes qualifiés en droit de la consommation, pratique agressive de «l’exploitation du malheur » des victimes de l’astrologie voyance. Une exploitation qui enrichissait le professeur 6 à Wi, à l’origine de la mise en place de ce système mafieux depuis plusieurs années.  

Absence de notoriété
La communauté des contributeurs de wikipédia était agitée, depuis le 7 juillet 2018, date où astroemail modifiait la page inad, en entrant des informations de première main, qui leur étaient inconnues. Dans le nombre de ces nouvelles données figurait l’arrêt Gérard Labarrère daté 25/10/2012. Arrêt de la Cour d’Appel d’Aix en Provence révélant que l’inad, datée 1987, association de consommateurs n’était pas une association légalement déclarée. Ainsi que l’arrêt Frigola de la Cour d’Appel de Versailles, de 2013, révélant que l’Inad n’a pas de notoriété, ni ne possède de droits sur son sigle de 4 lettres.

Le 10 juillet Wikipédia mettait la page inad «en travaux». Le contributeur kikuyu se chargeait des vérifications. Kikiyu accusait Astroemail de mener un combat contre l’inad. Ainsi que d’exploiter la renommée de wikipédia pour se faire de la publicité à bon compte. Accusations infondées, au motif que l’adresse internet astroemail ne cite pas wikipédia. Ce qui revenait aussi à écrire que l’on devient suspect de partialité en informant. L’inad depuis plus de 10 ans trompe les crédules, via sa page promotionnelle sur wikipédia en laissant croire qu’elle est la Croix Rouge des victimes de l’astrologie voyance.

La page travaux accouchait le 14 juillet d’une page inad réduite en texte, ainsi qu’en prétentions. Kikuyu conservait les données judiciaires, communiquées par astroemail, en livrant un document contradictoire. La page débutait par l’affirmation selon laquelle l’inad est une association déclarée  en 1987. Pour finir par le démenti de l’arrêt Gérard Labarrère daté 25/10/2012 de la Cour d’Aix en Provence. L’Inad n’est pas une association déclarée. Astroemail, ayant proposé la suppression de la page inad n’était pas consultée pour cette modification.

Inad virée
Le 7 novembre 2018, par hasard, astroemail prenait connaissance de la page discussion des contributeurs de wikipédia. Laquelle page faisait état d’une décision communautaire de tous les contributeurs de l’encyclopédie de supprimer la page inad le 23 octobre 2018. Ce qui est FAIT. Ainsi qu’astroemail le suggérait en juillet. La page inad n’existe plus. Cette modeste avancée indique que lorsque l’on diffuse la bonne information il est possible d’en attendre des résultats. A plus ou moins longue échéance. Presque 4 mois. La fausse notoriété de l’inad est durablement atteinte, pour la première fois, en profondeur sévèrement. Car Wikipédia assurait à l’inad une couverture médiatique importante, notamment en crédibilité. Le public n’est pas informé des raisons pour lesquelles l’inad est débarquée. Toutefois la page discussions comporte des extraits des échanges survenus entre les contributeurs. Notamment que l’action de l’inad est sérieusement mise en doute, à propos de ses déclarations en faveur des «consommateurs» de prestations occultes. Wikipédia se réveillait de 10 années de tromperies irrationnelles.

Souhaitons que d’autres intervenants se réveillent, eux aussi, de la torpeur dans laquelle ils sommeillent actuellement, en se berçant des illusions du professeur 6 à Wi, ainsi que de celles de Alain de si….


































Les adhérents inad sévèrement menacés
L’inad se proclame es qualité de défenseur d’une profession d’astrologues voyants. L’occasion sera bientôt donnée aux adhérents de l’Inad, professionnels de l’astrologie voyance, de répondre de l’infraction de tromperie de la qualité d’adhérent d’une organisation non susceptible de les encarter par voie d’adhésion. Quelques têtes de pipe feront les frais de la procédure qui sera engagée à leur encontre. Autrement dit «ils paieront pour les autres» afin de servir d’exemple. Tant pis pour eux. Ils n’avaient qu’à réfléchir et se renseigner, avant de s’engager. A l’attention de Maurice de la Volière et de Sabrina des Diables Verts.

Il ne restera plus qu’à s’occuper ensuite du professeur 6 à WI.

Le monde, sans être meilleur, se réveillera alors d’un long cauchemar appelé Inad.
Astroemail  08 11 2018