aider les victimes des pratiques divinatoires
lundi 23 juillet 2018
mercredi 18 juillet 2018
N'ATTENDEZ RIEN DU 27 JUILLET 2018
Concomitance d'une éclipse de lune avec un alignement de Mars. Le 27 juillet 2018 les montagnes n'accoucheront pas encore des souris
lundi 16 juillet 2018
Les écoles de la voyance
après la fausse école d'astrologie Karmique de Laurence Larzul
voici les fausses écoles et instituts de voyance
mercredi 11 juillet 2018
L'INAD EXPLOITE LE MALHEUR DES VICTIMES DE LA VOYANCE
Média indépendant de la liberté d'expression anti divinatoire
contribuant à la formation de l'opinion
indispensable à la manifestation de la pluralité des courants de pensées et de convictions en démocratie
le commerce des souffrances
L'INAD est une entreprise commerciale non déclarée exploitant financièrement les tragédies des victimes de la voyance.
jeudi 24 mai 2018
Rapport Mars Venus de l'Astrologie Sans Mystère
Opposer Gandhi à Hitler pour exposer le rapport Mars Vénus constitue une erreur.
Voici l'explication, sans effet de propagande..
samedi 19 mai 2018
mardi 15 mai 2018
Comment les astronomes couillonnèrent les astrologues avec la précession du zodiaque
Janvier
2011, une campagne médiatique planétaire occupait toutes les publications sur le
thème "votre signe a changé de signe". Faisant suite aux déclarations d'un
astronome américain, Park Kundle, quêtant de l'argent pour la création d'un
observatoire à Mineapolis. Au plan mondial aucun astrologue ne fut en mesure de
formuler des objections sérieuses. Pourtant elles existent. Car les signes
sidéraux n'ont pas bougé. Ce bobard était mis au point en janvier 1657 par le RP
jésuite Jacques de Billy, dans son livre "Le Tombeau de l'Astrologie
Judiciaire". En cours de réédition. Le bluff consistait à faire
précessionner le zodiaque. Ce qui n'est pas possible, puisque la précession
concerne la Terre. De 1951 à 1978 Paul Couderc, astronome de l'observatoire de
Paris, reprenait à son compte ce mensonge, dans les préliminaires astronomiques
de son Que sais-je? de l'astrologie. En se payant la tête, en droits d'auteur,
de ses nombreux lecteurs. De 1657, à 2011, le Révérend Père Jésuite Jacques de
Billy faisait ainsi des émules.
Le
gag de 1657 était dirigé contre l'évêque de Soissons, Charles de Bourlon. Pas
très chrétien, de la part d'un père Jésuite, de se payer ainsi la tête d'un
prélat en lui dédicaçant un livre, au motif de la culture scientifique
revendiquée par l'évêque. Une preuve, s'il en fallait, que les bluffs bien
élaborés ont de l'avenir.
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